Happy birthday t(w)o me !

A l’heure où je vous écris ces mots, nous sommes le jeudi 14 avril 2022.

Deux ans aujourd’hui.

24 mois que tous les mardis (ou presque), je vous publie mes idées, mes pensées et mes expériences.

Et 24 mois que vous me lisez et m’amenez énormément d’ondes positives avec vos commentaires, vos réactions et vos retours.

Est-ce que je fête ça en grande pompe ?

Dans mon cœur, oui.

WOOP WOOP !

Mais comme on est jeudi soir et que je bosse demain, je n’ai pas sorti les canons à confettis (trop compliqué à gérer pour moi …), ni la margarita.

Mais ce n’est pas grave, je n’ai pas besoin de tout ça.

Parce que je suis simplement très fière de tenir ce blog, ce petit espace d’écriture depuis tout ce temps.

Et ça me suffit.

Pour ceux qui ne le savent pas, j’avais déjà un blog avant.

Mais je l’ai supprimé car il ne me correspondait plus.

La maturité arrivant probablement …

Et quand j’ai décidé de créer à nouveau un support d’écriture et de partage, c’était avant tout pour satisfaire un besoin personnel.

Une sorte de journal intime (pas très intime pour le coup).

Bien que je ne partage que les informations que j’ai envie de donner.

Mais avec le temps, je me rends compte que la compilation de mes articles me crée un sacré beau tas de souvenirs, que j’aurais pour certains, probablement oubliés sans tout ça.

Cela arrive rarement, mais de temps en temps, je vais relire un article ou l’autre.

Et quand j’arrive à la fin, j’ai toujours le sentiment d’être contente d’avoir mis sur papier ma pensée.

C’est vrai que c’est beaucoup d’investissement pour finalement pas énormément de retombées extérieures.

Vous, vous lisez un article de quelques lignes en déjeunant ou pour passer le temps lorsque vous êtes sur le trône, ou j’ai entendu aussi, pendant votre pause au travail ou dans les transports en commun.

Moi, je réfléchis (beaucoup), pour trouver des idées qui pourraient un minimum vous intéresser, avec un minimum de réflexion derrière.

J’écris d’une traite, parfois j’efface, parfois je recommence tout, parfois je mets un article de côté pour un moment ou pour toujours.

Je fais travailler mon imagination pour accrocher à mon texte, une photo avec un minimum de lien et de sens.

Ce qui est pour moi la partie la plus compliquée parce que je n’ai pas vraiment la fibre artistique et que mon idée me vient souvent la veille à 20h, quand la luminosité est pourrie.

Et quand j’ai l’image et le texte, il faut encore tout mettre en page sur le web, le programmer (parce que non, je ne lève pas à 5h du mat tous les mardis pour lancer la publication).

Ainsi que la programmation sur les réseaux sociaux.

Je n’ai jamais compté combien d’heures ça me prenait pour créer un article du début à la fin.

Mais certainement beaucoup … 

Et certaines semaines, trop …

Si je ne compte pas, c’est parce que je le fais uniquement par plaisir, que ça me tient à cœur et que ça me fait du bien.

Le jour où ce sera une contrainte, c’est qu’il sera temps d’arrêter ou de diminuer la fréquence.

J’y ai déjà pensé, à publier moins souvent.

Et probablement qu’un jour, ça se fera naturellement.

Car j’ai d’autres projets sur lesquels j’ai envie de travailler et qui demande aussi énormément de temps.

C’est une décision assez difficile à prendre, car le peu de fois où je n’ai pas publié d’article, mon service de réclamation à été débordé.

Et je ne vous cache pas que cela met une bonne grosse couche de baume au cœur que de recevoir des compliments, des « plaintes » de manque, des avis de tristesse quand je prends congé ou quand j’ai un souci informatique.

De très petites retombées par rapport à la quantité de travail fourni, mais qui ont un grand pouvoir sur ma bonne humeur.

La satisfaction qui ressort de tout ce travail est tellement grande, qu’elle bat les inconvénients à plate couture.

Je n’aurai jamais pensé un jour, que le mardi deviendrait un de mes jours préférés de la semaine.

Et c’est en partie grâce à vous.

Alors encore une fois, un énorme merci pour vos messages en privé, vos commentaires, vos likes, vos partages (partagez encore plus, ça me fait super plaisir et ça me fait grandir !)

Deux ans, ce n’est pas rien.

Et j’ai bien envie de confirmer l’adage qui dit …

Jamais deux sans trois.

Et si un jour (dans mes rêves les plus fous), je deviens une auteure reconnue, je n’oublierais pas de remercier …

Ceux avec qui tout à commencé.

Tata Mackintosh