Si vous saviez … Oh, si vous saviez … Si vous saviez à quel point je déteste la période dans laquelle nous nous trouvons. Du sept janvier au trente-et-un mars. Une sinistre période. L’après « Galette des Rois ». L’avant « Oeufs de Pâques ». C’est psychologique, je sais. Mais c’est pour moi la période la plus compliquée de l’année. Chaque année ! Si on exclut 2020 et 2021 bien sûr … Ces deux années ne comptent pas, puisque niveau déprime, ça a dépassé l’entendement ! A croire qu’on est resté bloqué sur le mois de mars durant deux ans … Si je hais ces presque trois mois d’hiver, c’est parce que mon…

Est-ce que j’ose le dire ? Hum, hum … Bon, je me lance. En croisant tous mes doigts et en touchant du bois … Je vous souhaite une très bonne année ! Plus personne ne se sent assez aventurier pour oser le balancer. « Bonne année » est devenu le nouveau Voldemort. Si on le prononce, on a peur d’attirer le mauvais sort. On s’est fait la réflexion avec mes collègues, qu’on nous souhaitait de bonnes fêtes, des meilleurs vœux ou des bons réveillons. Mais les « Bonne année » se sont faits discrets cette année. Ici, j’ose le dire car c’est par écrit (j’espère ainsi ne pas être localisée). Sinon, je l’aurai chuchoté ou pensé très…

Et bin … Je ne suis pas mécontente d’arriver au bout de ces 365 pénibles jours. Non mais quelle année de merde ! Et jusqu’au bout ! Si on m’avait dit au 1er janvier 2021 que j’allais vivre tout ça, j’aurais éclaté de rire et aurais répondu … Impossible ! C’était sans compter sur Madame Karma et Monsieur Lapoisse, qui étaient planqués derrière une porte et se bidonnaient en me pointant du doigt. Je n’ai pas non plus eu que des mauvaises choses cette année (manquerait plus que ça !). Mais statistiquement parlant (bien que je déteste les stats), j’ai dépassé mon quota d’emmerdes pour les douze prochaines années. Ce qui devrait donc dire théoriquement,…